Les deux derniers articles datent peut-être du début du XIIIe siècle.
A la suite, fol. 104-108, extraits d'anciennes chroniques et pièces d'Ausone, comme dans le manuscrit cité plus haut (n. 70).
Fol. 108 vo : « Diffiniciones philosoforum de omnibus rebus contra querulos sermocinandis. — Diffinicio Ciceronis. Nulle sunt occulciores insidiae... »
Fol. 109 vo : « Epistola Alexandri ad Aristotelem, magistrum suum, de situ Indie et itinerum vastitate. — Semper memoravi tui, etiam inter dubia bellorum... ». Imprimé maintes fois, dès le XVe siècle.
Fol. 116 vo : « Epistola Cornelii Nepotis ad Salustium Crispum... Cum multa Athenis curiose... ». Préface supposée de l'ouvrage suivant.
Fol. 117 : « Epistola Daretis Frigii de excidio Trojanorum. — Peleus rex in Peloponenso... »
Fol. 127 : Poëme moral, comptant 176 vers. Premier et dernier vers « Tot tibi mala meis manibus lectissima carpsi, Hoc calamo silvas oculis gradiens sapientum... Qui fratri ignoscit, ignoscit Christus et illi. »
Fol. 128 vo : . « Versus Fortunati episcopi in consolacione defunctorum. Aspera conditio et sors inrevocabilis hore... »
Pièce à Chilpéric et à Frédégonde, Miscellanea, IX, 2.
Fol. 129 vo : Versus de adventu judicii. « Versus Bede presbiteri de adventu judicii. Inter florigeras fecundi cespitis herbas... »
Migne, Patr. lat., XCIV, cc. 633-638.
Fol. 130 vo : Poëme racontant un songe. « In Salomonis ferculo — quod construxit de Libano, Ex signis mirabilibus — mistica signans altius... »
Ce poëme paraît être d'Ansellus, moine de Fleury ; il fut composé par lui à la demande de saint Eudes, abbé de Cluny ; l'auteur y raconte une vision diabolique advenue à certain moine de Saint-Remy de Reims. Dans plusieurs manuscrits, ce poëme est accompagné d'une lettre à l'abbé Eudes. (Voir Catal. général, in-4o, t. V, Bibliothèque de Verdun, no 57, et Histoire littéraire, VI, 253.).
Fol. 133 : « Incipit in historiam Britannorum prefacio Gaufridi Monomutensis. — Cum mecum multa et de multis sepius animo... ». Début : « Britannia insularum optima... » — Fin : « Transferre curavi. »
Fol. 176 vo : Début du De remediis fortuitorum de Sénèque. « Prologus cujusdam in subsequenti opere. Ad Callionem quondam amicum suum contra omnes impetus et machinamenta fortune... Incipit dialogus. Licet cunctorum poetarum... » 1 col.
